L’entraide autogérée doit pouvoir bénéficier à toute la population. Pourtant il est vrai que certains publics y ont moins accès. C’est le cas des personnes ayant un parcours migratoire qui profite moins des offres d’entraide, tout comme c’est le cas des jeunes, des hommes et les personnes ayant un faible niveau de formation. Par conséquent, nous cherchons régulièrement à développer des efforts pour permettre une plus large participation de ces personnes notamment en réfléchissant aux canaux de diffusion de notre offre, en collaborant avec différentes organisations spécialistes de la migration soit pour présenter l’entraide autogérée, proposer des formations, trouver d’autres synergies notamment pour que des personnes bilingues puissent soutenir l’accès des personnes ne parlant pas le français à des groupes d’entraide.